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18/02/2013
[Chronique] Jamie Lidell - Jamie Lidell (2013)
Label: Warp
Date de sortie: Février 2013
Productions: Jamie Lidell.
Featurings: /.
Après quelques échappées dans la Soul Vintage et le Rock hybride, toutes maîtrisées bien qu'un peu ennuyeuses, Jamie Lidell retourne (enfin) à ses premiers amours électro-funk (depuis "Muddlin' Gear" et "Multiply") avec un nouvel album éponyme, signe évident d'un véritable retour aux sources pour ce génial touche-à-tout.
Amorcé par un single irrésistible à la fois salace et addictif, "You Naked", ce cinquième opus promet de faire resurgir toute l'audace de l'ex Super Collider, jamais aussi à l'aise que lorsqu’il manipule les genres à loisirs. Il y fait ainsi un joyeux télescopage de toutes ces inspirations passées, de la Soul (son prisme absolu), au Funk 80's, en passant par la musique électronique moderne, donc.
Illustration immédiate de cette noble démarche; le premier morceau, "I'm Selfish", qui accroche directement par des basses généreuses et de belles envolées synthétiques. Idem pour "Big Love", beau morceau rétro-funky. Lidell, en bon crooner élastique, muscle ensuite son jeux avec "What A Shame", puissante partition aux sonorités massives où l'on retrouve toute sa fougue. S’enchaîne ensuite une superbe ballade talkboxé, "Do Yourself A Faver", grisante à souhait. "Why Ya Why" expose, elle, un blues électrique assez entraînant. "Blaming Something" et "You Know My Name", titres au groove serré et jubilatoire, invoque ouvertement l'esprit du Kid de Mineapolis avec brio. On remarquera enfin tout particulièrement "Don't You Love Me", ballade étrange et aventureuse.
Belle synthèse de ses multiples influences, et bien moins cloisonné que ses précédents projets, "Jamie Lidell" s'avère être un très bon album, rempli de divers moments de grâces et l'image de son auteur, inventif et malicieux. Il fait bon vous entendre ainsi, cher Jamie.
Article Rédigé et Publié par Onelight à 13:11
Libellés : chronique, jamie lidell, warp
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