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16/01/2008
[Chronique] Jill Scott - The Real Thing (2007)
2007 a vu, entre autre, le retour de la diva nu soul Jill Scott sur le devant de la scène. Que dire, si ce n'est que le résultat n'est pas à la hauteur de l'attente.
Car hélas, "The Real Thing", 3eme volet d’une série commencé en 2001 avec le classique "Who Is Jill Scott?: Words and Sounds, Vol. 1", est en effet le moins bon album de la dame. La faute à une production peu inspirée (cette dernière n’est en effet plus entre les mains des producteurs de A Touch Of Jazz, comme par le passé), qui peine clairement à mettre en valeur les atouts vocaux certains de la chanteuse.
Sans être vraiment mauvais, cet opus manque clairement d’énergie, d’homogénéité et de personnalité. Ce qui est d’autant plus frustrant que ce "Real Thing" contient malgré tout quelques très bons moments, comme les biens trop courtes "Breath" et "Crown Royal", dans une vibe futuriste qui lui convient tout à fait, ou l’efficace "Only You".
Le reste peine à captiver l’attention, et Jill Scott semble vocalement jouer dans la facilité à de nombreuses reprises. Comme par exemple sur l’éponyme "The Real Thing", ou sur "Hate On Me", dont les productions sont encore une fois d’une trop grande banalité, lorgnant vers une nu soul jazzy un brin pop peu convaincante.
En résulte donc un album correct tout au plus, qui n’est en définitive pas à la hauteur du talent d’une des plus belle voix de la planète soul. Décevant.
Car hélas, "The Real Thing", 3eme volet d’une série commencé en 2001 avec le classique "Who Is Jill Scott?: Words and Sounds, Vol. 1", est en effet le moins bon album de la dame. La faute à une production peu inspirée (cette dernière n’est en effet plus entre les mains des producteurs de A Touch Of Jazz, comme par le passé), qui peine clairement à mettre en valeur les atouts vocaux certains de la chanteuse.
Sans être vraiment mauvais, cet opus manque clairement d’énergie, d’homogénéité et de personnalité. Ce qui est d’autant plus frustrant que ce "Real Thing" contient malgré tout quelques très bons moments, comme les biens trop courtes "Breath" et "Crown Royal", dans une vibe futuriste qui lui convient tout à fait, ou l’efficace "Only You".
Le reste peine à captiver l’attention, et Jill Scott semble vocalement jouer dans la facilité à de nombreuses reprises. Comme par exemple sur l’éponyme "The Real Thing", ou sur "Hate On Me", dont les productions sont encore une fois d’une trop grande banalité, lorgnant vers une nu soul jazzy un brin pop peu convaincante.
En résulte donc un album correct tout au plus, qui n’est en définitive pas à la hauteur du talent d’une des plus belle voix de la planète soul. Décevant.
Article Rédigé et Publié par Onelight à 18:32
Libellés : chronique, jill scott, the real thing
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