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17/08/2008
[Chronique] Steve Spacek & Exit Records presents Black Pocket (2007/2008)
Genre: Soul futuriste
Label: Exit Records
Date de sortie: 2008
Productions: Steve Spacek
Featurings: /
N’en déplaise à certains, le trop rare et mésestimé Steve Spacek (auteur au sein du groupe Spacek, où il était accompagné de Morgan "Spacek" Zarate et de Edmund "The Earlyman" Calvill, de deux chef d’œuvres de soul avant-gardistes, "Curvatia" et "Vintage Hi-Tech", et du sexy et moderne "Space Shift" en solo) représente toujours autant le futur de la musique Soul. Difficile de rester de marbre quand ce dernier daigne un peu sortir de l’ombre, avec ce projet nommé "Black Pocket", , élaboré secrètement en 2007 et sorti en très peu d’exemplaires, puis ressorti cette année via le label Exit Records. Alors, autant le préciser tout de suite, vous n’aurez ici peu, voir pas du tout le plaisir d’entendre la voix si particulière du bonhomme, car l’album en présence est principalement composé d’instrumentales.
Produits par Steve Spacek himself, les beats proposés ici illustrent cependant à merveille son style futuriste et électronique, si particulier et si jouissif. Un style qu’on pourra définir comme un mélange entre le hip hop de Detroit et l’electro allemande froide et minimale, le tout étant d’une profondeur assez remarquable. On notera dans cet ensemble homogène quelques grosses tueries, comme "Field", "Other Magic", l’extrêmement planante "Amplify", la briseuse de nuques "Bartin Groov", ou encore l’étrange et envoutante "Hangin St".
Seul hic, et de taille, l’absence de toute prestation vocale (à l’exception de l’excellente "You’re a star"), rend l’ensemble un peu trop froid pour susciter un intérêt des plus entier. Car, ce qui fait véritablement tout l’attrait de la musique de Steve Spacek, à savoir le contraste assez inédit entre des compositions électronique froides et épurées, et un vrai timbre de voix soul, grave, chaud et sucré, est ici absent.
On conseillera donc cette confidentielle sortie aux fans de la première heure, qui y adhéreront plus facilement, le tout étant encore une fois atypique et innovant, mais un peu trop froid et par conséquent frustrant.
Article Rédigé et Publié par Onelight à 12:58
Libellés : black pocket, chronique, exit records, steve spacek
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