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14/07/2010
[Chronique] Machinedrum - The Many Faces Of Machinedrum (2010)
Genre: Hip Hop/Electro/House
Label: Lucky Me
Date de sortie: Juillet 2010
Productions: Machinedrum
Featurings: /.
Nombreux sont les artistes utilisant habilement et parfois abonnement des pseudos multiples. Le New-Yorkais Machinedrum est de ceux là.
Après un LP assez remarquable l’année passée ("Want to 1 2"), ce producteur aux plusieurs visages revient avec un album au nom évocateur, donc, "The Many Faces Of Machinedrum", où ce dernier fait bon étalage de ses nombreux talents, avec six pistes variées et puissantes à souhait.
Alors que ses premiers travaux sonnaient clairement Abrasct Hip Hop cuté à la Prefuse 73, Travis Stewart, de son nom véritable, a depuis nettement franchi le cap de la pale copie, avec un style frais et bondissant, complémentaire, rappelons le une fois encore, de celui d’un certains Jimmy Edgar. Mais il a surtout considérablement su varier ses productions, Dubstep sous le pseudo Sepalcure, ou House avec l’entité Neonblack. C’est donc un joyeux mélange de tout cela que l’on retrouve sur cet opus.
L’introduction, "Sakatak", donne le ton immédiatement, avec un son Nu Hip Hop totalement rafraichissant. S’en suis l’excellente "Mean Mean", probant mélange entre R’n’B futuriste et électronica, véritable marque de fabrique du jeune homme. Même schéma métissé sur la toute aussi excitante "Carry The Weight", où la rythmique plus binaire se veut des plus entrainantes. Une orientation House que l’on retrouve avec la surpuissante "It’s That Bass", tuerie parfaitement bouncy riche en basses bien grasses à vous retourner un dancefloor sans aucun complexe. S’enchaine ensuite ce que l’on peut aisément considérer comme le meilleur titre en présence, "Make Me", sorte de mix incroyablement festif et imparable entre Hip Hop cuté, House et Electronica, parfaite synthèse du style Machinedrum, en somme. La chose se termine puissamment avec la bien trop brève mais très musclée "Lemme F_ck It", qui fait le métier dans un registre à la limite de la Booty Bass.
Signalons que les possesseurs de la version digitale auront le plaisir d’entendre un efficace mais dispensable remix de "Carry The Weight" par un certains Bok Bok.
Machinedrum impressionne donc grâce une production innovante, évolutive et toujours remuante où les nombreuses mais salvatrices variations de rythme sont légion. Il livre ainsi avec ce mini album une parfaite démonstration de groove réellement grisante. Nul doute, le new-yorkais a décidément sa place parmi les meilleurs producteurs indé à l’heure actuelle, et mérite vraiment une exposition autrement plus large.
Article Rédigé et Publié par Onelight à 16:44
Libellés : chronique, lucky me, machinedrum, the many faces of machinedrum
1 commentaire:
bien dit !
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